Plus connu sous le nom de Nostradamus,
Michel de NOSTREDAME nous a légué ses prophéties riches en connaissances
ésotériques. Plusieurs traductions ont été faites, certaines fantaisistes, d'autres
plus sérieuses (Jean Charles de Fontbrune qui a fait un travail remarquable).
Cependant, traduire ne veut pas
dire interpréter !
L'interprétation n'est pas
aléatoire. Il faut détenir les codes subtils, les clefs qui permettent de comprendre
le sens de chaque mot dans son orientation prophétique… ou la jonction à faire
entre elles.
Dans les prophéties de
Nostradamus, certaines concernent le passé, données en référence pour
notre pauvre entendement. D'autres concernent notre futur, celle de notre monde
actuel en devenir.
Ce qui est le plus surprenant
dans les prophéties de Nostradamus, c'est qu'une seule
information nous a été léguée comme point de repère. Il s'agit de l'année
1999. Cette année ne représente pas, comme il a été souvent laissé
à penser, que ce serait la date de réalisation des prophéties. Au contraire,
il s'agit, de la date qui marque le début des évènements futurs…même s'ils
restent à la fois indéchiffrables dans leur temps de réalisation,
sauf à les percevoir en esprit subtil.
Et, dans le sens ésotérique,
ceci fait une énorme différence dans la compréhension des
quatrains et sixains que Nostradamus a, de longue date et patiemment rédigé,
tout en devant masquer ses écrits pour ne pas subir le sort réservé
aux hérétiques. Il a même reçu des subsides de la
Reine et, celle-ci lui a rendu visite à Salon-de-Provence afin que les
gens et les notables ne s'en prennent à lui.
Toutefois, le sens d'une prophétie,
n'est-il pas -justement- de ne pas être perçu lors de leur énoncé
mais reconnu au moment de sa réalisation ou bien après coup ?